Porter ce maillot est un honneur, le mouiller est un devoir !

Le travail du staff a été payant

Le travail du staff a été payant

« C’est le fruit d’un travail effectué depuis au moins deux années.  Les joueurs ont su travailler comme il le fallait. Le fait qu’il n y a pas eu beaucoup de changement dans le groupe a été un facteur favorable, et les nouveaux  se sont vite adaptés. Au mois de janvier, nous avons fait une très bonne préparation  pour arriver à réussir notre intégration en phase de poules de la C1 » rappelle DURANT. Avant de poursuivre : « C’est un travail de longue haleine, une récompense. Seulement ça ne s’arrête pas là, car quand on est dans cette phase le nouvel objectif, c’est d’aller le plus loin possible ».

Alors, que faut-il pour y arriver ? DURANT : « Ce sera le même travail au quotidien qu’on va toujours reproduire. On ne doit pas tout changer malgré qu’on joue contre le tenant du titre, le  WAC, ou encore Mamelodi. Sachez que la préparation physique, ce n’est pas une programmation au jour le jour,  mais plutôt un cycle. C’est au fur et à mesure durant toute la saison. Donc, on ira dans cette  continuité, avant d’ajouter les travaux tactiques et techniques » précise Alain.

Outre ce travail pérenne du staff, Alain DURANT insiste sur « le travail invisible »comme le nomment les spécialistes : «  Dans la préparation, il faut beaucoup axer sur la psychologie, parce qu’à ce niveau, il vaut son pesant d’or. Pour réussir sur ce plan, nous allons continuer en communiquant beaucoup avec les joueurs, en leur parlant de petites choses, avec nos expériences (ZVUNKA et moi)  acquises dans notre carrière de joueur on les rassure, on les conseille comment faire au haut niveau, dans les matches de coupe, etc. Voilà un aspect fondamental et j’espère que cela va nous aider » a-t-il conclu.

Le Docteur Yamoussa Soriba SOUMAH: « Poursuivre le travail »

« Cette qualification, c’est un sentiment de fierté pour nous et pour toute la nation guinéenne. Le club récolte le résultat des efforts conjugués depuis belle lurette. Nous sommes très contents, mais à présent c’est le début d’une autre mission, au stade supérieur. Donc nous devrons à tous les niveaux faire notre travail au maximum pour passer cette phase en vue d’écrire en lettres d’or le nom de ce club dans les annales du football africain. Cette progression donnera forcement une valeur ajoutée à notre football. Le côté positif de cette intégration en poules des 8èmes de finale, c’est que nous allons recevoir des grands clubs ici. Le public aura l’occasion de voir ces
clubs renommés grâce auHoroya AC » s’est réjoui le « Doc » comme on l’appelle.

Le médecin chef pense qu’avec les équipements adéquats et la méthode de travail, le staff médical pourra  bien et mieux suivre les joueurs pour  une prise en charge rapide en vue de ne pas être confronté au problème sanitaire  pendant cette campagne africaine : « Nous sommes dotés d’outils performants qui nous permettent de remplir notre fonction de façon professionnelle dans le domaine du conseil, du suivi et des soins. Avec ces équipements, nous allons continuer à faire beaucoup d’efforts pour protégerau maximum la santé des joueurs, parfois même par des soins à domicile ou bien encore une évacuation chez nos partenaires spécialisés au Maroc. L’hôpital de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) est une autre référence sur laquelle nous nous appuyons, en marge de notre salle desoins désormais très bien équipée. Ce sqont des conditions de travail indispensables parce que nous savons que c’est maintenant le haut niveau et que nous sommes engagés sur trois tableaux ( championnat , coupe nationale et C1) » a « diagnostiqué » le docteur.

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